Renaissance

Par Guillaume, le 29 juin 2011

Qui n‘a pas eu à déposer son cœur brûlant à même l’eau d’un ruisseau ? Qui n’a pas eu à laisser s’envoler ses fantômes, ses peurs, ses souvenirs ?

Drapé dans un voile de mélancolie, je fais semblant d’échapper à mes angoisses. Drapé dans un voile d’ironie, tu fais semblant d’échapper à ton avenir.

Drapé dans un voile d’incertitude nous roulons côte à côte, sans même se regarder. Percée par des regards étrangers, l’épaisseur de nos douleurs se fait de plus en plus transparente. Et de ces trous béants naîtront les racines d’un ciel nouveau.

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