Fuck you tender

Par Jacques, le 23 janvier 2012

Les lumières défilent, inlassablement. La pluie tombe, toujours. Je m’enfonce sur cette route, tout semble glauque autour de moi. Aux petits pavillons entourés de rues désertes ont succédé des carcasses d’usines, des préfabriqués, ces excroissances des grands centres urbains qui font la transition jusqu’au désert. Un no man’s land où se croisent régulièrement des feux, seuls signes de vie humaine. Pas un oiseau, seulement le bitume devant moi, et ces lumières jaunâtres sur le côté.

Au fur et à mesure que j’avance, des images me reviennent en tête. Son souvenir me hante. Il me poursuit, et je ne peux le semer. Depuis toutes ces années, tout me rappelle ce qu’elle a été. Les éléments se liguent pour me ramener à elle, encore et toujours. Je veux fuir de cette prison. Retrouver goût aux choses. L’oublier.

Pas encore d’album pour eux, va donc falloir vous bouger à leurs concerts, tout comme votre humble serviteur. Qui serait ravi de partager ses soirées en concert avec toi lecteur. Prouve moi que tu viens ici, que je ne suis pas seul, et allons boire des bières en écoutant les Travelin’ Clouds. Qui ont un facebook sur lequel tu trouveras toutes les infos qu’il faut.

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