
Dompter la bête
De grands rideaux pourpres, une cheminée, des banquettes velours disposées le long du mur. Au milieu de la pièce, une table ronde. Pas si grande, (…)
De grands rideaux pourpres, une cheminée, des banquettes velours disposées le long du mur. Au milieu de la pièce, une table ronde. Pas si grande, (…)
Stupeur. Alors que j’errais comme chaque matin en quête d’un métro dans lequel je ne serai pas condamné à subir le sort d’une sardine, je fus pris (…)
L’été est là, il paraît. Il fait chaud un jour, frais le lendemain. Tu les regardes, ils sont tous là, parfois si proches, parfois si lointain. (…)
Oula, pas si facile en définitive de se remettre au boulot, de reprendre la plume et de reprendre le réflexe de proposer des articles par ici ! (…)
– Je n’en peux plus, trop c’est trop, je suis en train de craquer. Mais qu’est-ce qui t’arrives ? Non bah j’ai passé un été complètement pourri ! (…)
Le poids de la chaleur qui commence à te harasser. Les perles de sueur qui coulent de ton visage. Ton pas qui se fait de plus en plus lent. Ton (…)